Par les dons qu’elle récolte, la Fondation du CHU de Québec catalyse l’innovation et permet au CHU de Québec-Université Laval de faire l’extraordinaire. Plusieurs appareils technologiquement avancés demandés par les équipes médicales nécessitent d’aller au-delà des fonds consentis par le ministère de la Santé et des Services sociaux. C’est là que la Fondation intervient et permet de réaliser l’extraordinaire!

Plusieurs de ces appareils technologiques sont en attente de financement et nécessitent vos dons pour voir le jour. Voici un exemple d’équipement médical pour lequel votre don peut faire la différence.

La théranostique est en plein essor dans la province! Le CHU de Québec-Université Laval est le centre hospitalier avec le plus grand volume de traitement en théranostique au Québec et l’un des plus important au Canada. La demande pour le traitement d’une tumeur de la prostate au LU177-PSMA, utilisant des isotopes radioactifs, est donc en hausse. Alors que l’on préconise un maximum de 30 jours pour commencer le traitement d’un cancer par ce procédé, le temps d’attente est maintenant de quatre mois.

En avant, la technologie!

C’est là que la technologie entre en scène! Pour évaluer la réponse d’un patient au traitement, les équipes du CHU utilisent actuellement des caméras analogiques. En remplaçant ces dernières par des caméras digitales, la durée des examens diminuerait de 50 %. Ces caméras digitales permettraient de faire plus d’examens sans nécessiter plus de main-d’œuvre, offriraient des images de meilleure résolution et permettraient de diminuer la dose de radiation à injecter aux patients.

Pour les enfants aussi!

Ces caméras sont aussi bénéfiques lors d’examens pour détecter des pathologies osseuses, rénales, digestives et cancéreuses chez les enfants. Le Centre hospitalier de l’Université Laval (CHUL) effectue annuellement des examens diagnostiques de médecine nucléaire auprès d’environ 750 patients.

Qu’est-ce que la théranostique?

La théranostique utilise l’imagerie pour étudier le comportement d’une tumeur afin de déterminer le traitement le plus adapté pour enrayer le cancer. Cette approche est en pleine émergence dans le traitement ciblé du cancer, notamment celui de la prostate, qui est le cancer le plus répandu chez les hommes et le quatrième cancer le plus fréquent au pays, selon les données du Gouvernement du Canada.