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Bal des grands romantiques – Témoignages

Nous voilà déjà à la 27e édition de notre Bal des grands romantiques! Année après année, cet événement offre l’occasion de présenter à nos 750 convives des projets que nous avons financés grâce à la générosité de nos donateurs. Nous en profitons donc pour vous partager trois témoignages touchants. Guy Noël, Bernard Méthot et Michèle Caron-Pageau n’auraient pas eu le même sort sans le soutien de la Fondation du CHU de Québec et sans l’expertise des équipes de soins du CHU de Québec-Université Laval (CHU).

Notre Fondation permet de faire l’extraordinaire pour le CHU en dépassant les cadres de financement traditionnel du ministère de la Santé et des Services sociaux.

La soirée du vendredi 22 mars prochain, présentée par Québecor et sous la présidence d’honneur de M. Maxime Laviolette, président et chef de la direction de Dessercom, sera animée par nulle autre que Guylaine Tremblay.

Le 27e Bal des grands romantiques promet d’être unique, grandiose et mémorable!

Quelques mots de Guylaine Tremblay

« Au Bal des grands romantiques 2023, j’ai fait la rencontre de gens résilients et émouvants, qui ont bénéficié de soins spécialisés entre autres grâce à l’apport financier de la Fondation. Ces patients du CHU de Québec ont pu compter sur une expertise médicale extraordinaire, sur des équipes de recherche dévouées et sur du personnel soignant engagé et humain. » – Guylaine Tremblay, animatrice de la 26e et de la 27e édition du Bal des grands romantiques.

Témoignage de Guy Noël

Parmi ces rencontres, il y a celle avec Guy Noël. Un homme inspirant dont l’histoire est délicate puisqu’on parle ici de suicide. Paradoxalement, Guy a une soif de vivre peu commune.

Le 12 février 2015, il a fait une tentative de suicide par pendaison.

On lui a retiré le larynx et les cordes vocales. Son œsophage est maintenant relié à sa bouche pour manger. Il respire à l’aide d’un trou, qu’on appelle stomie puisqu’après sa tentative de suicide, on a dû lui faire une trachéo pour rétablir sa respiration. Quelques mois plus tard, on lui a installé une prothèse conçue sur mesure qui lui permet de parler sans effort et sans douleur. Grâce au travail des oto-rhino-laryngologistes de L’Hôtel-Dieu de Québec, Guy a retrouvé sa joie de vivre et est parfaitement conscient de la seconde chance que la vie lui a offerte.

Témoignage de Bernard Méthot

Parmi ces rencontres, il y a celle avec Bernard Méthot, l’heureux papa du petit, très petit, Théodore né avant terme, qui pesait 1 ¼ de livre à sa naissance.

Le 8 janvier 2022, à 25 semaines de grossesse, Bernard s’est rendu aux urgences de l’Hôpital Saint-François d’Assise avec sa conjointe qui ne se sentait pas bien. Après lui avoir faire passer plusieurs tests, les médecins décident de la transférer au CHUL. Quelques heures plus tard, ils ont appris qu’elle faisait une prééclampsie avec le syndrome de Hellp, ce qui veut dire que ses globules rouges, ses cellules du foie et ses plaquettes sanguines se détruisaient.

Elle a subi une césarienne d’urgence. Au Centre mère-enfant Soleil, Théodore a dû être opéré au cœur, ensuite pour une hernie et a dû combattre une infection. Heureusement aujourd’hui, il est en pleine forme et sa mère aussi. L’expertise et la formation des équipes de soins combinés aux équipements ultraspécialisés font en sorte que toutes les situations critiques puissent être prises en charge efficacement.

Témoignage de Michèle Caron-Pageau

Parmi ces rencontres, il y a celle avec Michèle Caron-Pageau. Son témoignage a été bouleversant et a rappelé à quel point la rapidité de la prise en charge est un facteur déterminant dans la survie des patients.

Le 14 novembre 2019, après avoir vu apparaître et disparaître une ombre dans son œil droit, Michèle s’est rendue chez l’optométriste, qui l’a dirigée sans délai vers l’hôpital du Saint-Sacrement. Après une batterie de tests, le verdict est tombé : Michèle souffrait d’un mélanome de la choroïde de l’œil droit, un cancer à la fois rare et agressif.

Il n’y avait aucune minute à perdre surtout qu’elle était enceinte de 28 semaines. Quelques jours plus tard, elle a reçu son plan de traitement, y a très bien répondu, mais elle devra s’assurer tous les six mois qu’aucune métastase n’apparaît. Michèle a eu la chance d’être prise en charge par l’une des rares spécialistes pour ce type de cancer que compte le pays.